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  • Some pages in English Language

     

    • The French Riviera

       

    • Nice Carnival

      Traditionally, Mardi Gras and Carnival celebrations include lots of feasting, partying and parading. It's been that way in Christian countries around the world since the Middle Ages. And once again it's time for fun and frivolity on the French Riviera with the Carnival of Nice (France) from February 12th 2006, to February 28th 2010. Two weeks of processions and parades with spectacular floats and corsi (processions of floral floats),with spectacular and elegant flower parades on the Promenade des Anglais,with various events and festivities: rock, techno and dance concerts, entertainment and fireworks, and much more.
      This top winter event on the French Riviera attracts over 1 200 000 spectators. The theme for 2010 is King of Blue Planet.

       

    • Nice Cooking

      Recipes from Nice France, French Riviera, Provence, Health cuisine with olive oil

      You enjoy food and want to discover our French Riviera, typical mediterranean cuisine, "La Cuisine Niçoise". Our recipes will bring you pleasure and health. Follow our instructions and enter a new world of tastes and emotions.

      First step: The MENU
      Choose the recipes according to the season and invite a few friends (epicurious gourmets will make your day unforgettable!). Suggest them to bring some Provence wine or best, a Bellet wine from Nice vineyards.

      Second step: The SHOPPING
      List all the ingredients and go to a colourful market where you will buy fresh vegetables, first class meat and fish. Enjoy the shopping and buy the best!

      Third step: The COOKING
      You may share the cooking of the meal with your friends (make sure they have some culinary experience!). Read the recipe, prepare the ingredients and let your imagination and feelings do the rest. If it smells good, it will be good.

      Fourth step: The TESTING
      Make your table as beautiful as can be and let the tasty dishes flavoured with olive oil, garlic, mediterranean aromatic herbs, dazzle your palate. Share your emotions with your friends. After the meal, discover the pleasure of a relaxing siesta under the sun (in summer, we suggest the shade of an olive tree). You will soon become a "Cuisine Niçoise" addict.

       

    • Celebrities on the French Riviera

       

    • Interesting places on the French Riviera

       

  • Qualche pagina in Italiano

  • Les Actualités de Nice et de la Côte d'Azur


    Le rendezvous de l'actualité des événements, de l'histoire et de la culture de la Ville de Nice, des Alpes-Maritimes, du Comté de Nice, de la Côte d'Azur, Principauté de Monaco et Provence. Mises quotidiennement à jour, classées par thèmes, les Actualités de NiceRendezVous sont accessibles directement sur le site, via nos fils RSS.

     

  • Histoire de Nice

    • Les grandes dates

    • Nice, son histoire

    • Les Niçois célèbres

    • Garibaldi, citoyen niçois, héros européen

      Toute sa vie est une légende...

      garibaldi-a-niceNé français le 4 juillet 1807 à Nice alors rattachée à l’Empire, il est le fils d’un Génois, Dominique Garibaldi, capitaine au cabotage. Son père lui inspire le culte de la Liberté et sa mère celui de l’Italie momentanément morcelée. Elève d’un prêtre et d’un officier, il est mousse à 13 ans sur la «Sainte Réparate» paternelle et voyage jusqu’à Odessa. Participant au soulèvement des Carbonari génois en 1834, il est condamné à mort mais parvient à gagner Marseille. Il rembarque pour aller soutenir la révolte du Rio Grande do Sul au Brésil, devient chef de l’»escadre» révolutionnaire, épouse Anita Riveiro qui lui donnera deux fils, Menotti et Ricciotti. Il participe à la révolte de l’Uruguay contre l’Argentine et crée la Légion Garibaldienne. La victoire de San Antonio (1846) est saluée par les Anglais et les Français.
      En 1848, il arme un brigantin et quitte Montevideo. Engagé dans la guerre contre l’Autriche, la défaite de Novare le contraint à se replier en Suisse.
      Revenu à Nice il descend sur Rome où la République a été proclamée le 8 février 1849. Assiégé par les Français, il est contraint à la retraite à travers l’Appenin et trouve refuge à Saint Marin.
      Anita, qui l’accompagne, connaîtra une mort dramatique et romantique dans la forêt de Ravenne.
      Exilé en Amérique jusqu’en 1859, Garibaldi prendra une part active à la Guerre de l’Unité Italienne, avec la prodigieuse expédition des Mille, puis sur différents fronts autrichiens jusqu’en 1870.
      En 1871, accourant à l’appel de Gambetta, il lève une armée et se porte à Dijon. Il se retire à Caprera où il mourra en 1882.

      Découvrez plus en détail la vie de cet homme d'exception en suivant les liens ci-dessous...

       

    • Peintres niçois

      Depuis le Moyen-Age, Nice et son comté ont favorisé l'éclosion de nombreux talents artistiques. Des "Primitifs Niçois", ces artistes itinérants qui ont décoré églises et chapelles de la côte et du haut pays, à la fameuse "École de Nice", en passant par les aquarellistes du XIXe siècle, découvrez les œuvres essentielles qui ont transformé le Comté de Nice en véritable musée... Cette liste n'est bien évidemment pas exhaustive et se complètera au fil du temps...

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    • Nice et le Cinéma

      thumb_ladylNice noue des liens particulièrement étroits avec le cinématographe pratiquement dès la naissance de celui-ci. En effet, la région offre au jeune Septième art tout ce dont il a besoin: un ensoleillement exceptionnel, la rareté du vent qui ne vient pas ébranler les décors plantés en plein air, des paysages variés et pittoresques, une population diverse et nombreuse permettant de recruter la figuration nécessaire.

       

    • Bibliographie

  • Identité

    • Le Carnaval de Nice

      Corso 2010 : nos photos >>>

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      Trop souvent perçu à tort comme une immense machinerie industrialisée, le Carnaval de Nice est avant tout une création populaire due à l’imagination et au travail d’une corporation de Niçois qui s’activent avec passion pour ce violon d’Ingres qui n’est pas leur profession mais qui leur a été transmis par héritage familial et culturel. Paillassou, Polichinelle et Triboulet sont les trois principaux protagonistes de cette fresque où la valeur symbolique de cet art grotesque échappe parfois à l’œil du spectateur qui ignore la force d’une œuvre comme le char de la Ratapignata (chauve-souris) qu’Annie Sidro nous dévoile avec finesse. Son attachement au milieu de carnavaliers et à sa ville joint à sa quête minutieuse de documentation et à sa formation universitaire font de ce livre un ouvrage riche par la multiplicité des témoignages. Il répond à un vœu des Niçois soucieux de mieux faire connaître aux visiteurs et aux curieux une page colorée et populaire de leur histoire.

       

    • La Fête du Citron à Menton

      Menton - baptisée la “Cité des Citrons” - est connue dans le monde entier pour sa Fête du Citron®. Elle attire chaque année un public cosmopolite et bénéficie d’une forte couverture médiatique internationale.
      La Fête du Citron® n’a aucun équivalent dans le monde. Ses défilés et structures monumentales sont composés exclusivement d’oranges et de citrons. Dans l’enceinte des Jardins Biovès, des motifs géants racontent en onze tableaux une histoire chaque année renouvelée.

       

    • La Fête du Mimosa à Mandelieu-La Napoule

       

    • Le Combat Naval Fleuri de Villefranche

      Chaque année, de nombreuses familles villefranchoises viennent avec une quinzaine de bateaux pour perpétuer cette fête centenaire. 

      Les pointus (bateaux typiques du sud de la France) sont ainsi transmis de génération en génération en héritage d’une culture unique. Et même s’ils ne sont plus destinés à leur vocation première, la pêche, ils sont devenus un formidable outil de transmission de l’âme méditerranéenne.

      Le Combat Naval Fleuri est donc l’occasion parfaite pour montrer aux azu-réens et aux touristes ces bateaux qui font partie du patrimoine méditerranéen.

       

    • Fêtes traditionnelles

    • Associations culturelles

    • Langue niçoise : Le Nissart

      C'est au cours du second millénaire que s'imposent dans de nombreux pays européens les langues dites romanes, toutes nées de l'altération du bas latin.

      La présence de pouvoirs politiques forts feront, au XVe siècle, du castillan la langue de l'Espagne, du florentin la langue italienne et du dialecte de l'Ile-de-France -le francien- la langue du royaume de France. Dans le sud, l'impossibilité de domination de l'un des pouvoirs en place sur ses voisins laisse se développer toute une série de parlers, en Languedoc, en Auvergne, en Limousin, en Provence et bien évidemment, en Pays niçois. Ces variétés dialectales, issues elles aussi du bas latin, sont aujourd'hui langues à part entière.

      Ainsi en est-il de la langue niçoise, avec sa littérature et ses auteurs (Pellos, Fulconis, Rancher, Guisol, Eynaudi, Giordan, Nicola, Gag, Nathiez…), la relative fixation de la transcription graphique (à quelques variantes prés), la morphologie et la syntaxe établies par plusieurs travaux de grammairiens, son lexique et surtout, par son état actuel.
      Comprise et parlée par quelques dizaines de milliers de personnes, elle fait, à l'heure actuelle, un retour en force sur le devant de la scène culturelle du Pays niçois. Utilisée dans la signalétique des villes et villages, employée au cours de manifestations culturelles, elle est enseignée dans de nombreux établissements scolaires et universitaires.
      Son développement, associé à une quête légitime d'identité culturelle et à une mise en évidence de la spécificité niçoise, se mesure à sa production actuelle. Les textes et les écrits que l'on trouve régulièrement dans la revue culturelle "Lou Sourgentin" et même dans le quotidien local "Nice-Matin", les chants et les productions musicales comme celles du "Corou de Berra", les créations théâtrales du "Rodou nissart" et du "Théâtre niçois de Francis Gag"… font de la langue niçoise le signe culturel fort de l'espace niçois.

       

    • Musique et musiciens

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  • Villes et Villages des Alpes-Maritimes

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      LE COMTÉ DE NICE

      carte-mercatorLa dédition de Nice en 1388 aboutit au partage de la Provence orientale. Les vigueries de Nice, du val de Lantosque et du comté de Vintimille, de Puget-Théniers et de Barcelonnette, outre la baronnie de Beuil, passent sous l’autorité de la maison de Savoie ; alors que la baillie de Saint-Paul, comme les vigueries de Grasse et de Guillaumes, continuent à suivre le destin de la Provence, devenu à partir de 1481 celui de la France quand Louis XI hérite des possessions de Charles III, successeur du roi René. La frontière entre les deux Etats demeure très tortueuse, avec de nombreuses enclaves, alternativement savoisiennes et françaises. La situation humaine n’est guère plus simple. Bien que séparée de la « Patria Provinciae », la région niçoise garde de nombreux liens avec elle : maintien du droit provençal pour les règles s’imposant aux fiefs, inclusion de trois des quatre diocèses qui se partagent ce pays dans l’Eglise gallicane dont celui de Nice suffragant d’Embrun jusqu’à la Révolution. Le dialecte nissart constitue toujours un rameau de la langue d’oc ; tandis qu’une vingtaine d’agglomérations, proches de la frontière ou rattachées plus tardivement à la division niçoise, utilisent la langue française pour rédiger les actes administratifs.

      Aussi les souverains savoisiens nomment-ils d’abord leur acquisition : « Terres Neuves de Provence », tandis que sa capitale est appelée : « Cap de Prouvenso ». Selon André Compan, le titre comtal, absent lors de la dédition, ne figure que dans deux textes (1392 et 1554). Par contre, le terme comté, apparu en 1422, est utilisé avec une certaine constance dès la fin du XVe siècle et officialisé par la chancellerie à partir de 1574. En définitive, il s’agit d’une appellation administrative. Elle a le mérite de s’opposer au point de vue selon lequel le pays niçois n’est que la partie la plus orientale de la Provence, artificiellement et provisoirement séparée d’elle. En parlant de comté de Nice ne désigne-t-on pas une entité réelle, viable ? Elle correspond à une réalité géographique en recouvrant la zone où la montagne des Alpes-Maritimes est la plus compacte et la moins pénétrable. En se donnant à la Savoie, Nice ne rejoint-elle pas le monde alpin, une des composantes essentielles de sa région ?

      Quoi qu’il en soit de cette controverse, le comté de Nice va représenter une des provinces des « Etats de terre-ferme » savoisiens, l’île de Sardaigne étant exclue. Leur nombre total s’élève à 14 au milieu du XVIe siècle, 19 en 1622, 25 pour 1697, 23 quant à 1723 (quelques circonscriptions piémontaises ayant disparu). Le chiffre remonte à 31, l’an 1749. A cette date, on recense 6 provinces pour le duché de Savoie, 14 dans la principauté du Piémont dont font partie le « Contado di Nizza » et son annexe : le « Principato  d’Oneglia », 4 pour le duché de Montferrat, 1 quant au duché d’Aoste et 1 pour le val de Sesia, 5 pour les provinces acquises récemment. En 1818, l’effectif global atteint 40 circonscriptions par l’annexion de la république de Gênes.

      Durant cette période le nombre des communautés composant le comté de Nice a varié en fonction des modifications de frontières. Il y en a 86 lors de la dédition : viguerie de Nice 17, baillie de Villeneuve 14, viguerie des Tinées 16, val de Lantosque et comté de Vintimille 23, baillie de Barcelonnette 6, possessions du sire de Beuil 10. Mais Tende et la Brigue, Castellar avec Gorbio ainsi que le marquisat de Dolceacqua n’en font pas encore partie. Le rapport de l’intendant Mellarède mentionne 98 communautés au début du XVIIIe siècle, par l’inclusion des localités précédentes ainsi que de quelques agglomérations non signalées auparavant dans le val de Barcelonnette. L’effectif n’est plus que de 86 unités en 1752, selon la relation de l’intendant Joanini, car la vallée de l’Ubaye a été cédée à la France à la paix d’Utrecht. Après le traité de 1760, réalisant un échange de localités entre Louis XV et le roi de Sardaigne afin de rendre la frontière plus rectiligne, le comté remonte à 90 communautés car, s’il en perd 5 il en gagne 9 dont Guillaumes.

      La création du premier département des Alpes-Maritimes lui en attribue 96 par le rattachement des principautés de Monaco et Seborga, de la cité de Drap – ancien fief de l’évêque niçois -, avec Castillon et Moulinet ex-dépendances de Sospel qui se sont émancipées. Le département se subdivise en trois districts baptisés arrondissements par la suite et une vingtaine de cantons.

      Par contre la Restauration sarde, après 1814, ramène l’effectif communautaire au chiffre de 87. En effet, la fondation de la Trinité-Victor est un ajout qui ne compense pas la perte de dix agglomérations : principautés de Monaco et Seborga, Drap, marquisat de Dolceacqua avec ses annexes de RochettaPigna. Cependant surgissent des éléments nouveaux. Le mandement, regroupant plusieurs communautés, correspond aux cantons de la période révolutionnaire et impériale ; ils font revivre des réalités géographiques : les bassins fluviaux, eux-mêmes supports d’unités historiques : tribus celto-ligures et « pagi » romains. Inversement la division, composée de plusieurs provinces, est une véritable création sarde, facilitée par l’annexion de la république génoise. Ainsi, la division de Nice comprend trois provinces : celle de Nice (15 mandements, 87 communautés), celle de San Remo (8 mandements, 38 communautés), et celle d’Oneille (6 mandements, 66 communautés). Plus que jamais auparavant, un aspect ancestral du comté de Nice, celui de marche-frontière alpine entre la France et l’Italie est mis en évidence.

      Henri COSTAMAGNA
      in "Dictionnaire historique et biographique du Comté de Nice"
      Nice, Serre éditeur, 2002

       

    • Villes et villages de Provence orientale

       

       

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