– Représentations théâtrales La Peste10 MAI 2007 18H30
théâtre National de Nice - salle Pierre Brasseur
13 représentations dont 2 réservées aux scolaires ; pièce co-produite avec les Théâtres de la ville de Luxembourg
- adaptation : José Brouwers - mise en scène : Marc OlingerOran, un jour d’avril dans les années 1940 : le docteur Rieux découvre le cadavre d’un rat sur son palier. Quelques jours plus tard, une agence de presse annonce que plus de six mille rats ont été ramassés…Peu à peu les premiers soupçons se confirment : il s’agit de la peste. La ville d’Oran sera dès lors “fermée et isolée”.
- avec Joël Delsaut, Roger Francel, Timothy Marozzi, Jacques Paquer, Guy Robert, Norbert Rutili, Hervé Sogne, Bernard Varin, Jean-François Wolff
- assistante à la mise en scène : Renée Maerz - musique : Balli Bauldauff
- décor : Christoph Rasche - costumes : Ulli Kremer.
Conférence Femmes artistes autour d’Albert Camus par Pierre-François Astor, co-auteur du livre de Blanche Ballain “La récitante”, deuxième volet des souvenirs de Blanche Ballain, amie de Camus. L’auteur dédicacera son livre à l’issue de la conférence.11 MAI 2007 16H
théâtre de la photographie et de l’image - accès libre
manifestation proposée par l’association LibraireS à Nice
Suivie de lectures L’étranger, la Chute, Le premier homme, extraits, Albert Camus par Claudine Hunault et Jean-Louis Schalles, professeurs de théâtre au conservatoire national de région et accompagnés au saxophone de Bruno Ottavi, élève au CNR
Conférence l’Afrique romaine, urbanisme, images, digressions par Yves Sarthe, professeur, licencié es lettres, en histoire, géographie et histoire de l’artVOIR TOUT LE PROGRAMME ALBERT CAMUS ICI
musée archéologique Nice-Cemenelum - accès libre pour la conférence
A partir de son fonds personnel de documentation photographique sur les sites romains de l’Afrique du nord, particulièrement sur les cités de Numidie et de Mauritanie, Yves Sarthe nous expose les aspects essentiels d’une civilisation principalement urbaine, ses monuments, ses croyances, ses travaux et ses distractions, en ne s’interdisant ni les clins d’oeil ni les échappées poétiques.