À la suite de fausses allégations et d’erreurs répercutées par certains médias, Jacques PEYRAT, Président de la Communauté d’Agglomération de Nice Côte d’Azur, souhaite apporter les précisions suivantes.
- 1 – le marché de construction du centre de maintenance du Rouret n’a été ni annulé, ni jugé illégal par le juge de première instance alors que le requérant le demandait expressément et qu’il a été débouté.
Seule la délibération de la commission d’appel d’offres a été considérée, sur la forme, comme non conforme à la réglementation des marchés publics. En effet, le juge reproche à la Commission d’appel d’offres d’avoir entendu des experts pour éclairer les discussions sans que la Communauté d’Agglomération les ait nommément désignés préalablement.
La Communauté d’Agglomération a décidé de faire appel de cette décision.
- 2 – Le requérant a déclaré qu’il allait « transmettre ce jugement à M. le Procureur de la République afin de faire toute la lumière sur la présence à cette commission de gens de THALES, société déjà poursuivie dans l’affaire MONLEAU ». Ce requérant tente de créer un climat de suspicion généralisé en voyant des « Thalès » partout. Même si le chantier du tramway a été victime des turpitudes de la filiale Thalès Ingénierie et Consulting, mise en examen, je tiens à préciser qu’aucun employé ni représentant de la société Thalès ou d’une de ses filiales n’était présent à la commission d‘appel d’offres ayant présidé à l’attribution du marché de la construction du centre de maintenance du Rouret.
Jacques PEYRAT