En cette fin d’année, nous apprenons avec tristesse et nostalgie la disparition à
Nice de Thérésius Passeron. Voilà trente six ans naissait le
Sourgentin. Très vite,
Thérésius PASSERON avait rejoint la petite équipe de responsables, où ses qualités de contacts humains et ses relations firent merveille.
Particulièrement chargé de la distribution et de la recherche de nouveaux abonnés, il sillonna les rues de
Nice et les routes du département, souvent juché sur sa moto. Et lorsqu’il fallait confectionner le journal - manuellement à l’époque - il n’était jamais le dernier à la tâche, sa bonne humeur et ses « barseleta » ravissant toujours les amis venus apporter leur aide.
Avec Thérésius, comme nous avions tous l’habitude de l’appeler, disparaît un des pionniers du
Sourgentin, un ami aussi. Sans oublier l’érudit, le fin connaisseur de la langue de la vallée du
Paillon, où il fut de nombreuses années enseignant.
Le prochain numéro du
Sourgentin reviendra longuement sur cette personnalité attachante, ainsi que sur sa discrète épouse Yvette. En attendant, que toute sa famille trouve, ici, l’expression de notre amitié sincère.
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